Depuis quelque temps, Valérie Trierweiler avoue être plus à l’aise dans son rôle de première dame. Une aisance que l’on a pu retrouver lors de son voyage à Alger auprès de son compagnon le président François Hollande, bien qu’interrogée par des écoliers algériens sans tabou.
Valérie Trierweiler, de retour sur les bancs de l’école, le cliché fait sourire. A commencer par la principale intéressée qui est apparue réjouie dans une école d’Alger. Pendant que François Hollande rencontrait le président algérien Abdelaziz Bouteflika, la first girlfriend frenchy se prêtait au jeu des questions des écoliers. Vivement cuisinée par ces petits garçons et petites filles curieux, Valérie a même avoué, amusée: «Vos questions sont pires que celles des journalistes!», et c’est dire, tant elle connaît le métier.
Car si la vérité sort de la bouche des enfants, les questions que n’oseraient pas poser les journalistes aguerris aussi. En plus des basiques «Pourquoi êtes-vous venue en Algérie?», les enfants sont très vite rentrés dans le vif du sujet. A la demande «Quels sont les avantages et les inconvénients de votre rôle?», Valérie Trierweiler a confié qu’un des avantages était d’être là, parmi eux, mais qu’en contrepartie elle perdait un peu de sa liberté. Si elle a eu du mal à trouver sa place aux côtés de François Hollande, la première dame s’est récemment confiée sur le déclic qu’elle a eu fin septembre. Un déclic engagé qui donne plus de sens à ses actions.
Plus sûre d’elle, celle qui affiche lors de ses apparitions un style plus féminin et affirmé, ne s’est pas laissée faire par cette interro surprise. Et quand on lui a demandé quel effet cela lui faisait d’être la compagne d’un président, la première dame s’est livrée sans détour: «Je suis la compagne de François Hollande avant d’être celle du président. C’est de l’homme dont je suis tombée amoureuse, pas d’un président.» Pétrie de confiance en elle, Valérie Trierweiler se sent pousser des ailes.