Alix, candidate de télé-réalité révélée en 2018 dans La Villa des coeurs brisés saison 4 et ex-candidate des Marseillais VS Le Reste du monde la même année, a vécu une très mauvaise soirée. En vacances à Marbella, en Espagne, avec des amis, elle a été arrêtée par la police. Pire encore, la jolie brune de 26 ans raconte avoir été agressée par les forces de l’ordre dans la nuit du mercredi 29 au jeudi 30 juillet 2020 à la sortie d’une boîte de nuit.
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“L’heure est grave. Là, je suis devant le commissariat de police. On a été violentés par la police. Samy, ils l’ont tabassé, ils lui ont pété une dent. Et moi, regardez mes poignets, j’en ai partout [des hématomes, NDLR]”, lance d’abord Alix en story sur Instagram ce jeudi 30 juillet 2020. Et de poursuivre : “Je suis allée à l’hôpital, ils ont refusé de m’amener un avocat. Ils m’ont volé mon téléphone. J’avais publié les policiers en train de frapper Samy. C’est pour ça qu’ils m’ont attrapée. En fait, moi, j’étais en dehors. Et j’ai juste dit : ‘Arrêtez de frapper mon ami parce que je filme.’ Ils m’ont attrapée, tabassée.“
Plus encore, la jeune femme raconte avoir vécu une scène traumatisante, et elle a même eu très peur pour sa vie. “Je suis choquée, regardez mon cou. Le policier m’a étranglée en me regardant dans les yeux, avec son genou sur ma poitrine. Je ne pouvais plus respirer, a-t-elle confié. J’aurais pu y rester, ça aurait pu être très très grave.“
Mais les raisons de cette altercation restent floues. D’après Alix, son ami a été pris à partie par la police qui l’aurait “frappé gratuitement” et elle aurait filmé la scène, avant d’être à son tour agressée. “Je ne bois pas, je ne suis pas une droguée. Je suis innocente et je suis une victime de la situation et de cette violence qui n’a pas lieu d’être“, a-t-elle conclu, appelant les personnes ayant filmé les événements à lui faire parvenir les vidéos.
Rappelons qu’Alix, qui n’a pas sa langue dans sa poche, avait tenu en mai 2020 des propos insultants envers la police française, lançant : “Ils ne contrôlent que des Noirs et des Arabes, ces fils de pute.” Christophe Castaner, ministre de l’Intérieur de l’époque, avait été saisi de l’affaire.